De retour dans mon "Paris natal", j'ai pris contact avec mon médecin de famille qui m'a envoyé chez un neurologue qui se trouvait à l'hôpital de la Pitié-Salpétrière. Une femme adorable, gentille comme tout, répondant à toutes mes questions.
Elle a dédramatisée la situation (même s'il s'agit d'une maladie grave!) en me disant aussi les problèmes physiques qui pouvaient revenir. Elle m'a tout dit y compris le "pire" qu'il puisse m'arriver concernant l'handicap.
Car en effet ma toute première "poussée" n'était "qu'une" insensibilité sur le coté gauche du corps de la plante des pieds jusqu'à l'épaule. Quand je dis insensibilité, je ne sentais réellement rien! On pouvait me toucher la peau, me piquer avec une aiguille, je ne ressentais RIEN...
Elle a dédramatisée la situation (même s'il s'agit d'une maladie grave!) en me disant aussi les problèmes physiques qui pouvaient revenir. Elle m'a tout dit y compris le "pire" qu'il puisse m'arriver concernant l'handicap.
Car en effet ma toute première "poussée" n'était "qu'une" insensibilité sur le coté gauche du corps de la plante des pieds jusqu'à l'épaule. Quand je dis insensibilité, je ne sentais réellement rien! On pouvait me toucher la peau, me piquer avec une aiguille, je ne ressentais RIEN...
Elle (la neurologue) me refait donc quelques examens avec une autre ponction lombaire car j'en avais déjà eu une...
(La ponction lombaire est un acte consistant à introduire une aiguille creuse à l'intérieur de la colonne vertébrale et plus précisément dans la partie inférieure de celle-ci. Elle permet de prélever et de retirer du liquide céphalo-rachidien.)
Oh joie! Le pire dans cette ponction mombaire, ce doit-être le "après" car si l'on ne reste pas immobilisé pendant 24 heures, les effets secondaires sont durs!!!
En plus de cette ponction lombaire, prises de sang, scanners et IRM étaient de la fête aussi!
Mais bon..., grâce aux bolus de solumédroles, l'insensibilité avait totalement disparu en quelques jours (5 jours).
Les vacances et la vie continuaient donc!
3 commentaires:
Rien qu'à voir la photo... j'ai trop mal!!
Il faut savoir qu'il est possible que l'on nous fasse des piqures nous permettant de calmer la douleur. Mais il est vrai que " l'après ponction " peut ne pas être agréable!
J'ai 28 ans et ma mère est medecin, je l'evite depuis des mois maintenant car j'ai de plus en plus souvent des pertes musculaires, de mémoire, etc... j'ai peur quelle ne soient au courant. résultat je doit aller faire des examens dans un mois à 300 km de chez moi pour ne croiser aucune de ses connaissances. comment lui annoncer sans quelle dramatise?
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